Recettes

Les recettes testées que j’apprécie vraiment.

Tarte aux framboises

 3 paquets de Biscuits Thé
70g de beurre
1 pot de Mascarporne (250g)
350g de framboises fraîches
2 cuillères à soupe de sucre en poudre
Une très bonne confiture de framboises

Commencez par mettre les biscuits dans un petit sac à congélation. Assommez-les pour les briser en morceaux petits, moyens ou grands, ne cherchez pas l’homogénéité. Coupez le beurre en petits bouts et ajoutez le aux biscuits démolis et mélangez, malaxez pour qu’il soit réparti de façon la plus équitable possible. Étalez cette préparation dans un moule à tarte, mettez au très frais pour figer cette « pâte ». Pendant ce temps, versez le Mascarpone dans un saladier et saupoudrez de sucre et fouettez pour alléger le fromage. Laver les framboises sous un filet d’eau et égoutter voire éponger l’eau en surplus.

Sortez du frigo, votre pâte « fraîchie » et avec une spatule, délicatement, badigeonnez-la de la très bonne confiture de framboises, en fine couche, mais suffisamment pour que la pâte en soit quasiment recouverte, faites pareil avec le Mascarpone. Puis disposez les framboises, en faisant un rond précis, pui sun second, etc., jusqu’au centre, puis comblez les trous avec les framboises restantes.

Conservez au frais, dégustez dans la journée ou le lendemain.

Marc m’a donné la recette. Et j’avoue être la victime de son succès : j’ai dû la réaliser plusieurs jours de suite…pour tenter de rassasier la gourmandise de chacun… Mon truc en plus, c’est la fine couche de très bonne confiture de framboises (on peut remplacer par un coulis de framboises), elle permet de rehausser le goût des framboises fraîches. La difficulté est de bien respecter la « chaîne du froid ». Le beurre doit bien être réparti pour que la pâte prenne. Mais il n’en faut pas trop, sinon c’est écoeurant, et ainsi les biscuits restent bien croustillants. La tarte finalisée doit être conserver au frais (dans le haut du frigo), de cette façon le Mascarpone se durcit et la tarte est délicieuse fraîche.

1 Comment

Filed under Recettes

Mon Far breton créole


Pour un grand plat en terre, en fer ou en verre, style plat à lasagne bien beurré.
240 g de farine
200 g de sucre semoule
6 œufs
1 l de lait entier
Rhum vieux
500 g de pruneaux dénoyautés
Sel 1 belle pincée
60 g de beurre
Cuisson 35 à 40 min
« Exceptionnel » m’a-t-on-dit en goûtant ce savoureux dessert.
Les compliments s’ajoutent au plaisir de régaler ces gourmands !
Préchauffez le four th 7/ 210 °
Dans un saladier mélangez farine, sucre et sel. Ajoutez œufs, un par un, remuez au fouet au fur et à mesure afin d’éviter les grumeaux. Pendant ce temps, faites fondre le beurre.  Très important de bien battre à chaque ajout d’ingrédient pour obtenir une belle pâte homogène. Une fois tous les œufs ajoutés, mettre le rhum, alors là, je tourne la tête, et de très mauvaise foi : « Oups, mince…, ça a coulé … » . Donc j’en mets beaucoup pour qu’on sente sa présence dans le far. Ensuite, j’ajoute le lait, s’il n’est pas entier, ce n’est pas grave, doucement, pour permettre une bonne incorporation et un mélange parfait. Et enfin le beurre refroidi, c’est mieux à la fin car sinon, le mélange tourne.

Voilà c’est fini. Enfin presque.

Dans le plat préalablement « embeurré », disposez les pruneaux dénoyautés (plus difficiles à trouver, mais impératifs pour une dégustation exquise), puis la pâte.
Enfournez le tout au milieu du four à 210 ° pendant 15 à 20 min. Le far est toujours liquide (c’est-à-dire pas cuit) au milieu, après cette première cuisson, remontez-le et poursuivez-la pendant 15 min à four plus chaud (jusqu’à 250 °), le far se recouvre alors d’une robe couleur auburn voir pruneau… ça tombe bigrement bien. Surveillez bien pour ne pas passer au mode grillé-carbonisé.

Le plus dur : attendre qu’il soit tiède avant de le déguster.

Merci Christophe Felder.

1 Comment

Filed under Recettes

Rhubarbe, crumble etc…

Tige ferme, épaisse verte parfois rosacée tirant sur le violet.
Voilà donc la rhubarbe !
Ce fruit acide, à déguster dés la fin avril jusqu’aux premières gelées, est particulièrement riche en calcium pour un végétal. Probablement le fruit le moins calorique, il contient peu de sucre et beaucoup d’eau.
Plantée en terre, la rhubarbe offre ses tiges feuillues. Point besoin d’outils pour la cueillir, l’arrachage à la main suffit à rompre la tige à sa base. Elle seule est conservée dépouillée de ses feuilles toxiques.
Ensuite c’est facile, rincer à l’eau froide, couper les extrémités et tronçonner en morceaux de 2 cm d ‘épaisseur. Certaines préconisent un effilage pour ôter les fils, à mon avis et après usage, ça ne me semble pas impératif !

Crumble pommes rhubarbes
4 pommes juteuses
6 tiges de rhubarbes
120 g de farine
100 g de beurre salé laissé au froid jusqu’au dernier moment
100 g de sucre roux

Préparez les rhubarbes et les pommes. Découpez les en cubes pas trop petits. Disposez-les dans un plat à gratin préalablement beurré et saupoudrez de sucre. Remuez. Mettez la farine et le sucre dans un saladier. Mélangez. Ajoutez le beurre frais coupé en morceaux et incorporez au mélange farine-sucre en malaxant du bout des doigts. Il faut obtenir une espèce de poudre sèche quitte à rajouter de la farine.
Saupoudrez sur les fruits et enfournez 30 à 40 min, th 8.
Consommez tiède ou froid. C’est fameux !

Sinon, Nigella Lawson suggère une recette, absolument divine à regarder et tout autant à déguster, une compotée de rhubarbe cuite 2h au four associée à une crème chantilly, le tout arrosée de coulis de rhubarbe : une tuerie !

Leave a Comment

Filed under Recettes